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Cette balade pop tropicale aux refrains entêtants et aux flûtes enchantées souffle un vent de fraîcheur absolu. La chanteuse franco-brésilienne dévoile ici le tout premier titre original de son Ep à venir. Il est réalisé par Louis Thomas (Ladaniva) et Luis Malapa (Myra, Vacra). Entre Maloya et mal d’amour, la ritournelle de « Wadidadu » est chantée avec toute la passion de la jeune artiste qui enflamme déjà les festivals depuis le printemps dernier.

Un single vibrant qui célèbre la liberté, la simplicité et la douceur de la vie, porté par des rythmes envoûtants et des paroles engagées. L’un des tous meilleurs titres du nouvel album. Dans ce style si original qu’ils cultivent, les Zoufris Maracas font une nouvelle fois mouche. Alchimie des lignes de guitares qui se superposent, roulements de timbales, puissance mélodique des conques et cuivres, pulse imparable, évidence du chant et du texte, tout nous emporte et nous amène à chanter et danser collectivement, sur la thématique du peril écologique. Aucun doute que le titre rejoindra les plus populaire du groupe

S’ils sont connus pour être à la pointe d’une musique contestataire, joyeusement exotique et irrésistiblement dansante, les Zoufris Maracas sont aussi appréciés pour la poésie des textes de son leader Vincent Sanchez. Cette chanson d’amour désespérée, dans un unisson troublant avec la chanteuse Luiza, touche les cœurs avec une émotion universelle. Sur un format très court, avec des mots simples mais d’une justesse rare, elle réussit à rejoindre les plus beaux moments de la chanson française.

Nouveau titre du nouvel album attendu le 27 septembre, ce morceau a le parfum de l’insouciance et de l’ironie mordante, qui ont fait la signature du groupe.

Sur une balade chaloupée à la sud américaine, le chanteur rappelle que l’homme n’est pas grand-chose face à la course du monde et au règne de la nature.

Un titre parfait pour danser cet été !

Nouvelle étoile dans le ciel musical, la voix de Luiza scintille de mille mélodies et fait déjà parler d’elle.

Après des featurings remarquées (Zoufris Maracas, Fakear, Mahom, Flavia Coelho, Féfé), la voici qui prend son envol avec toute son énergie et sa fraîcheur sur le classique « Demain Demain » des Fabulous Trobadors. Charpentée par une partie des musiciens de Ladaniva (découvert par le grand public à l’Eurovision), cette version reggae-cumbia invite la chanteuse à une interprétation solaire.
Avec un brin de saudade et beaucoup de sourires, Luiza réinvente ce titre comme une ode à l’instant présent car la vie est trop courte pour ne pas exalter ce bonheur estival.

Une promesse qu’on veut suivre de près…

Le groupe atypique signe un nouveau titre à la puissance exotique enivrante. Fidèle à la soif de liberté, il nous extrait des angoisses quotidiennes dans un voyage mélancolique sur les terres de Cesaria Evora.

Altermondialistes et sans frontières. Militants et apolitiques. Ecolos et parasites d’une chanson française dont ils bousculent les codes, les Zoufris Maracas réalisent une chimie créative unique dans le paysage français. Leur popularité croissante se confirme à chacun de leurs concerts complets dans la toute la France et une croissance organique constante sur les plateformes (plus de 200 milions de streams cumulés !).

Ils annoncent leur premier Olympia pour avril 2025, un nouvel album fin septembre et une tournée pour l’automne.

Nouvelle étoile vocale du Sénégal, le chanteur Lass, salué par la critique (France Inter, Radio Nova, Télérama, Le Monde) pour son premier album
« Bumayé », est de retour avec l’album  Passeport.

Touchant au cœur avec sa voix d’or si particulière, Lass nous emporte aussi avec ses grooves imparables, alliage réussi entre traditions ouest
africaines et production moderne soignée.

Produit par Jordan Kouby (Imany, Keziah Jones), l’album mêle avec
perfection beats afro pop et afro indie et mélodies psychés mélancoliques.

Avec des invités de choix comme le chanteur antillais David Walters,
le pianiste cubain Roberto Fonseca ou encore les cuivres déchaînés de Cotonete, cet album invite au voyage, à la fête et à la danse.

C’est le grand retour de Féfé, en Hélicoptère, un album riche de 14 pistes de toutes les couleurs. L’ex-leader du Saïan Supa Crew lâche des raps énergiques aux influences boom-bap, tout en nous faisant danser sur des cadences de chansons urbaines actuelles.

Avec des réalisateurs comme Bastien Doremus (Clara Luciani) ou Lazy Flow (Maureen) et Felipe Saldivia (Idir), ce nouvel album justifie pleinement son titre: Féfé vole dans son propre ciel musical, et son «Hélicoptère» traverse un arc-en-ciel de sons exceptionnels.

Tiken Jah Fakoly se réinvente avec son nouvel album ACOUSTIC.
On redécouvre sa voix et ses textes, dans cette oeuvre musicale world / africaine puissante.
Les instruments acoustiques traditionnels s’intègrent dans une production moderne et intemporelle, réalisée par Jonathan Quarmby (Benjamin Clementine, James Arthur, Finley Quaye…). Les duos français et internationaux (-M-, Horace Andy, Bernard Lavilliers, Tiggs da Author, Chico César, Naâman) rappellent que Tiken est un grand artiste respecté et aimé pour l’ensemble de son oeuvre.

Un incontournable de sa discographie.

En pleine tournée européenne, le groupe offre 3 titres inédits, enregistrés lors de la dernière session de décembre à Kingston.

Nyah man de Johnny Osbourne est un anthem puissant et mystique que les connaisseurs apprécieront. Version magistrale.

Freedom fighters de Cedric Myton rejoindra les classiques du collectif, tandis que le ska inattendu de Kiddus I, Squidley Didley en surprendra plus d’un.

Trois magnifiques titres qui prolongent en beauté l’album sorti en juin 2023.

Afro disco pour dancefloors estivaux, Lass sort un nouveau morceau tout juste un an après son premier album Bumayé.
Cette chanson en français, une première pour Lass, chambre avec ironie les flambeurs nocturnes en carton et toute la famille musicale se réunit sur la piste de danse pour l’occasion :
Bruno Patchworks (Voilaaa) à la composition, Jordan Kouby (Hindi Zahra, Tshegue, Keziah Jones) pour la réalisation et le mix, alors que les turbulents Djeuhdjoah & Lieutenant Nicholson soufflent un excédent de good vibes et d’harmonies vocales au refrain entêtant de Lass.

Découvrez le clip du nouveau morceau “Tous Ensemble” issu de l’édition augmentée de l’album “Braquage de Pouvoir”.

La star du reggae africain prolonge son dernier album avec 5 nouveaux morceaux, produits par Thomas Broussard (collaborateur de Koffee, Pierpoljak, Booba, NTM…).

Des titres à la fois rassembleurs et militants, dans la veine de ceux qui ont fait le succès de l’artiste.

Une nouvelle édition soutenue par une intense tournée d’été-automne de plus d’une quarantaine de dates jusqu’à l’Olympia en octobre.

Après 2 albums qui ont marqué les esprits, le fameux collectif jamaïcain revient enfin avec un nouvel album ; et il est au sommet de son art. Le journaliste anglais David Katz, spécialiste du genre, l’a déjà qualifié comme «leur meilleur opus». En plus des légendes qui constitue le collectif (Cedric Myton, Winston McAnuff, Kiddus I…etc), on y découvre les voix splendides de l’icône des années 70 Johnny Osbourne ainsi que celles du duo 60’s Keith & Tex. Feeling, musicalité extrême et authenticité sont les caractéristiques de cet album, qui s’annonce mythique pour les mélomanes et le public reggae.

« Faut pas nous dire à nous que l’Afrique est pauvre ! »

Rejoint par Dub Inc, le plus populaire des groupes de reggae français, Tiken Jah Fakoly chante une ode au continent débordant d’espoir et d’énergie positive.

20 ans après leur première collaboration, le trio d’un jour panafricaniste (Tiken l’ivoirien, Hakim « Bouchkour » Meridja d’origine algérienne et Aurelien « Komlan » Zohou d’origine béninoise) nous emmène danser au milieu de la jeunesse d’Abidjan. Mené par un jeune garçon rebondissant dans les rues de la capitale, la caméra nous montre une ville en pleine activité, remplie de sourires et d’humanité.

Ces paroles pleines d’enthousiasme à propos de ce « Beau Continent » qui a tout pour réussir, nous laissent avec une humeur perlée d’étoiles et de sueurs.

Sorti le 13 janvier 2023, ce nouveau remix de LASS par Synapson achève une longue et riche série de reworks des morceaux du premier album de LASS (“Bumayé”– juin 2022). A raison d’un remix par mois depuis l’été dernier, plusieurs producteurs internationaux ont (r)habillé avec style les lumineuses mélodies du chanteur sénégalais.

L’anglais El Buho (Quantic, Chancha Via Circuito) a proposé une visite d’un autre “Sénégal”, dans des teintures chamarrées electro-afro-cubain. L’américain Captain Planet (Erykah Badu, David Walters) a transformé “Dounia” en un irrésistible hymne de club 90’s. iZem a ajouté une cadence afro irrésistible au premier single historique de Lass, “Yaco Mome”. Et les cuivres éthiopiens des français d’Arat Kilo ont enfumé le dub psyché de “Metina” avec Flavia Coelho.

LASS a aussi invité ses complices de toujours pour participer à la fête : Bruno Patchworks d’abord, au volant de son Voilaaa Sound-System qui klaxonne des batteries de cuivres sur une version vintage du titre “Bumayé” (son remix a déjà accumulé des centaines de milliers de streams sur les plateformes), sans oublier les copains de Synapson donc, qui propose aujourd’hui une version imparable de “Mbélé”, avec des claviers pour hypnotiser les tympans et une basse menaçant de faire imploser les enceintes.

Le morceau “Mbélé” est également remixé par le jeune et talentueux Alekos, dernier inédit de ce EP de remixes haut en couleurs qui montre bien l’arc-en-ciel de styles que peut inspirer la voix magique de LASS sur son premier album, définitivement la révélation de l’année 2022 quand on parle de chanteurs africains.

Nouvel album très attendu de la voix du Reggae Africain. Militant, tranchant dans ses paroles, puissant et imparable dans ses productions.

Enregistré entre Abidjan, Bamako et Paris, co-réalisé par Tyrone Downie (Bob Marley), Mael Danion (City Kay) et Guillaume Stepper (Sly & Robbie). Featurings de Grand Corps Malade, Amadou & Mariam, Winston McAnuff, Dub Inc.

Toujours autant d’efficacité. — Le Monde Afrique

Une nouvelle pièce maîtresse. — Reggae.fr

Dans un format folk acoustique qu’on lui connait moins, Tiken Jah Fakoly emmène réfléchir ses compatriotes à ce fatalisme habituel symbolisé par l’expression africaine « Ça va aller ».

Malgré la teinte semi mélancolique, le chanteur refuse toute anesthésie de la volonté, et appelle les consciences à réagir, porté par un souffle cuivré Soul 70’s aussi inattendu qu’incantatoire.

Extrait de son prochain album BRAQUAGE DE POUVOIR (sortie le 4 novembre).

Nouveau single de la voix du reggae panafricaniste, qui annonce son nouvel album très attendu, BRAQUAGE DE POUVOIR, à sortir le 4 novembre.

Soutenu par une riche orchestration convoquant kora entêtante, balafon, flûte et section cuivre impériale, Tiken Jah Fakoly délivre avec “Religion” une complainte émouvante et courageuse pour dénoncer l’extrémisme religieux, poison contemporain qui menace gravement (notamment) le continent africain. Le chanteur, rasta et musulman basé à Bamako, sait de quoi il parle mieux que personne.

Un morceau puissant qui a la force et l’évidence de l’oeuvre de son prédécesseur jamaïcain Bob Marley.

« I can hear the sound of my people fighting around… ». Le peuple qui gronde, les slogans des manifestants dans la rue, la foule qui se lève contre ses oppresseurs. Voilà ce qu’entendent Tiken Jah Fakoly et Winston McAnuff dans ce morceau « I Can Hear ». Un duo inédit pour un message révolutionnaire qui rappelle vraiment ceux de Marley.

Tiken Jah Fakoly a toujours su prendre le pouls du continent africain, en appelant la diaspora à se sentir concernée par ces mouvements de contestation citoyen en Afrique (Balais Citoyen au Burkina, Yen A Marre au Sénégal, etc.) et à l’international (Gilets Jaunes en France, le MST ou la via campesina en Amérique du sud).

Du reggae roots traditionnel du meilleur cru, au message toujours conscient et plus actuel que jamais.
Un nouvel extrait puissant de son album prévu à l’automne, « Braquage de Pouvoir ».

Tiken Jah Fakoly revient avec un nouveau single puissant qui annonce son prochain album pour l’automne.
Voix des sans voix, infatigable militant contre l’injustice, l’oppression et la misère, l’artiste ivoirien interpelle ses compatriotes africains sur la tragédie des traversées en Méditerranée avec « Où est-ce que tu vas ? ».
Alignant sa parole avec ses actes, il s’engage auprès de SOS MÉDITERRANÉE et lance un appel au don sur les réseaux.
La problématique, si elle a disparu de l’actualité médiatique, n’en reste pas moins brulante. Elle s’amplifie même en ce début d’été.
Perché au sommet de la Tour d’Afrique de Bamako, Tiken fait résonner sa voix le plus loin possible, dans le clip réalisé par Toumani TSK Keita.